LE STRESS EST-IL LIE AU TEMPS ?
25 juillet 2023. CHANGER POUR VIVRE. COACHING MNUNEZ
- Changement de paradigme
- Retour « à la normale «
- Ne plus courir après le temps.
1 Changement de paradigme
Avec les confinements , beaucoup d’entre nous ont perdu leur rythme et leurs routines (imposées la plupart du temps par d’autres ! ). Certains ont eu un trop plein de temps, et ont soudain été désespérés, ivres de trop de temps, san sbuts ou tâches à effectuer , sans relations humaines , lieux extérieurs à visiter.
Pour d’autres ,tout s’est étalé comme quand on est en vacances ou au début de la retraite , quand on met une journée , à faire ce qui nous prenait une heure d’habitude et ont enfin pu vivre à leur rythme, d’autres se sont sentis inutiles car ne travaillant plus 7 heures par jour, certains pouvant être 100% en télétravail , ont plutôt eu des soucis à ne plus « perdre » du temps en petits échanges à la machine à café avec leurs collègues.
On devrait beaucoup travailler en été et se reposer en hiver (l’inverse des sociètés urbaines). le temps sans travail a pu aussi être l’occasion de rattraper toutes les séries non visionnées, de lire tous les livres non lus, etc…
2 Retour « à la normale »
Du côté négatif :
Démissions en série. Perte de sens , de goût à la vie futile , à la vie professionnelle, aux études. Dépressions sévères dans toutes les couches sociales de la population et dans toute la pyramide d’âges.Peur des autres en présentiel
Ce n’est pas le temps qui a été mis entre parenthèses, C’EST LA VIE !
Trois années perdues (certians disent « volées » de notre vie …
Du côté positif :
Concentration sur sa vie personnelle, intérieure /de couple/familiale/amicale. Concentration sur son bien-être , sur le respect de ses propres valeurs et non de celles imposées par son boss/la socièté. Déménagement à l’Etranger , en Province , à la campagne. Reprise d’activités sportives/intellectuelles: ou au contraire profiter de ne RIEN FAIRE / NE RIEN ACHETER/ BULLER dans une société obsedée par la production et l’hyper activité et la consommation.
3 Ne plus courir après le temps
Le temps file quand on fait une activié qui nous plait avec des gens qui nous plaisent.
Il s’étire en méditation ou en pratiquant le yoga, la concentration sur le moment présent.
Trop de temps ou pas assez, peut entrainer un stress équivalent, si notre rythme n’est pas respecté. En effet , on ne vit pas à l’heure du soleil, ni en respectant le cycle cicardien humain .
Il est aussi utile de revenir à un rythme de vie en accord avec le rythme circadien (rythme biologique basé sur 24 heures et les périodes veille/sommeil)
Le rythme circadien peut être perturbé par :
- un décalage horaire qui impose à l’organisme de resynchroniser son rythme circadien avec un nouveau rythme , maltraitantant pour l’organisme
- l’exposition diurne/nocturne à une lumière artificielle (notamment dans le cadre du travail de nuit), voire à une intense »pollution nocturne »;
- une alimentation riche en graisses qui perturbe le sommeil en troublant la sensibilité à l’insuline.
C’est ainsi que « la privation de sommeil et ou des habitudes de sommeil altérées peuvent avoir des conséquences (…) sur la santé, entrainant une série de maladies qui ont souvent une composante immunitaire « . (1)
Ne pas avoir de temps veut dire ne pas avoir de contrôle sur son temps ( comme à l’école ou au travail). Ne pas être autonome. Etre impuissant/te
L’isolement est un facteur de perte de repaires par rapport au temps, d’où l anécessité de ne pas vivre seulment via les écrans , mais de rencontrer de vrais humains et égalment de se promener dans la nature , de baigner dans la lumière naturelle du soleil…
Tout passe , même les périodes plus ou moins négatives
Pour élimniner le stress lié au temps, retrouver goût à la vie , rien de mieux que le FUN…la curiosité ou ( entre-autres, l’Art-thérapie ( voir articles précédents).
« Le temps est une série de moments, chacun d’eux est aussi riche que le sens que l’on met en lui « . Jenny Odell
Pour aller plus loin , réservez un appel clareté :
contact-coaching-mnunez.com
(1) : Wikipédia
