Les femmes salariées âgées de 30 à 60 ans font face à plusieurs problèmes liés au stress au travail, qui peuvent avoir un impact significatif sur leur bien-être et leur carrière. Voici trois exemples de ces problèmes :
Charge de travail excessive
Discrimination et inégalités salariales
Manque de soutien en matière de conciliation travail-vie personnelle
Charge de travail excessive : De nombreuses femmes dans cette tranche d’âge se retrouvent souvent à jongler entre leurs responsabilités professionnelles et leurs obligations familiales. Elles sont souvent confrontées à une charge de travail excessive, ce qui peut entraîner un stress chronique. Les attentes élevées des employeurs et les délais serrés peuvent rendre difficile la gestion de leur temps de manière équilibrée.
Discrimination et inégalités salariales : Malheureusement, les femmes dans ce groupe d’âge sont toujours confrontées à des discriminations et à des inégalités salariales. Cela peut générer un stress supplémentaire, car elles se sentent sous-évaluées et sous-rémunérées par rapport à leurs collègues masculins, malgré leur expérience et leurs compétences.
Manque de soutien en matière de conciliation travail-vie personnelle : Les femmes de 30 à 60 ans sont souvent à la croisée des chemins entre leur carrière et leur rôle de mères ou de proches aidantes. Le manque de politiques de soutien à la conciliation travail-vie personnelle dans de nombreuses entreprises peut entraîner un stress considérable, car elles se sentent souvent obligées de jongler entre les deux sans le soutien adéquat de leur employeur
Ces problèmes de stress au travail chez les femmes salariées nécessitent une attention particulière de la part des entreprises et des décideurs afin de mettre en place des politiques et des mesures visant à améliorer leur bien-être et à favoriser l’égalité des sexes en milieu professionnel.
Un coaching professionnel ou personnel peut-être également très utile
Déclencheur , qui va créer un sentiment d’urgence (mêmes schémas négatifs qui se répètent, évènement traumatique, rencontre, idée originale etc)
2. Former une coalition puissante
Constituer un groupe/une équipe forte autour d’un projet, membres ayant de l’ expertise, excellents en communication, ayant de l’ expérience…
3. Créer une vision de l’état futur
Le changement nous fait basculer dans l’incertitude et le doute, donc le futur et les objectifs doivent êttre clair pour vous et votre équipe, il faut aussi se baser sur des valuers afin de donner unsens à la transformation qui va se produire.
4. Communiquer la vision
Communiquer , n’est pas parler ( à l’heure des réseaux sociaux , de I.A. et des répondeurs inhumains, la plupart des personnes se sentent de plus en plus seules).
Il doit y avoir une communication précise (et positive) et tout doit s’appuyer sur les actions
5. Incitez à l’action
Ne restez pas seul/seule. Entourez-vous de pairs ou si vous avez une équipe impliquez-la dans l’action. Si vous voyez que vos objectifs ou ceux de l’équipe ne sont pas atteints , il convient de rectifier l trajectoire.
Il convient également d’être responsable.
6. Générer des victoires à courts termes
Plutôt que de toujours se référer à l’objectif final , créez des jalons, des étapes et de petites victoires tout au long du chemin , afin d’éviter le découragement et l’impression de sur-place.
7.Consolider les succès
Un succès pour soi ou son équipe, va pouvoir vous donner envie d’enclencher des changements dans d’autres domaines.
On peut s’ppuyer sur la méthode de l’amélioration continue.
(L’amélioration continue est une démarche globale qui consiste à fournir sans cesse des efforts pour améliorer les services, les produits et le fonctionnement général d’une entreprise)
8. Ancrer les nouvelles approches
Le premier changement effectué, il est utile d’ancrer cela de manière positive (voir visualisations sur mon site) , afin de créer des processus , des trames qui pourront être utilisés pour apprendre à apprendre et apprendre à changer.
Réservez votre appel clareté :
contact-coachingmnunez.com
Pour en savoir plus , lire également les livres de John KOTTER (Harvard)
Retour de vacances. On oublie tout, le passé et surtout les deux années précédentes et on cherche un travail qui a du sens ?
C’est quoi un travail qui a du sens ?
Qui a un impact
Qui me fait progresser professionnellement
Qui me fait progresser personnellement
Qui me fait mieux me connaitre
Un travail qui a un impact.
Pour les autres ( clients, collègues, société)
Pour la planète
Pour soi
2 Un travail qui me fait progresser professionnellement.
De salarié/ée , je veux devenir entrepreneur/re, peut-être avec une phase, où je suis les deux en même temps.
Ou alors , j’ai été licencié/ée et je cherche une autre voix…Le même travail mais à mon compte , un travail différent plus proche de mon nouveau moi.
3 Un travail qui me fait progresser personnellement
Un travail où je me réalise. De nombreux millénium ont apporté l’ idée que le travail est une partie de notre vie et non notre vie avecquelques (petits loisirs).
Beaucoup d’employés depuis 2020 ont même démissionné car leur travail et leurs mauvaises conditions,ne leur correspondaient plus.
4 Un travail pour mieux se connaitre
Grâce à des formations , qui amènent à l’action.
Grâce à un bilan de compétences ( voir posts )
Grâce à un IKIGAI
Grâce à un accompagnement
A très bientôt.
Excellente journée !
Pour aller plus loin , si vous souhaitez un accompagnement pour retrouver le bien-être et les performances.
Quand les » subalternes » (sous-payés) sont les clés de voûte, les pivots de l’organisation…
Ces personnes donnent une âme à l’organisation, leur moteur est de faciliter la relation, faire plaisir, mettre de l’huile dans les rouages.
Que se passe-t-il quand elles s’en vont ?Tout s’effondre , mais les managers ne le découvrent que trop tard ! (puisque le surconfiant ne sait reconnaître les compétences des collaborateurs)
Décryptage…
DEUX SITUATIONS
Une positive…
Ces personnes connaissent tous les rouages, les liens, les informations, les personnes contact, pallie à tous les dysfonctionnements des managers, des cadres etc…
Dans les hôtels
Les entreprises de sécurité
Dans les hôpitaux/ cliniques
Beaucoup d’entreprises…
Ces personnes donnent une âme à l’organisation, leur moteur est de faciliter la relation, faire plaisir, mettre de l’huile dans les rouages.
Que se passe-t-il quand elles s’en vont ?
Tout s’effondre , mais les managers ne le découvrent que trop tard ! (puisque le surconfiant ne sait reconnaître les compétences des collaborateurs)
Sur les traces de la clé de voûte…
Il est important de faire un diagnostique pour l’entreprise si une personne « clé de voûte » existe (l’entreprise est donc tributaire et dépendante, elle devra avoir de la reconnaissance verbale et financière, sinon elle partira)
Si cette personne n’a pas de reconnaissance , elle s’épuisera en attendant un hypothétique geste de l’entreprise.
Dès que l’employé aura confiance , il recouvrera sa santé et son autonomie de penser et d’agir.
Une négative…
Le « NO SERVICE » à la française…
Dans de nombreuses boutiques , des restaurants et des « services » (non ce n’est pas de l’humour !) administratifs, un phénomène stupéfait les touristes et même les français qui ont vécu un certain temps à l’étranger ,à leur retour en France.
Quoique , cela s’est un peu amélioré , depuis le dé-confinement et le fait qu’il y ait peu de touristes en France en ce moment !
A tout, malheur est bon !
L’employé/e (sous-payé/e, peu motivé/e) décide « de se venger sur le client » :
Aucun bonjour, n’accueille le client , le vendeur reste au téléphone, ou rivé sur son ordinateur sans prêter attention au client , sans le saluer , ou lui montrer un siège ou un collègue ou au contraire un « je peux vous aider ? » soupçonneux , suit le moindre de nos gestes (supposés mal intentionnés)
Il/Elle téléphone ou regarde un film sur son portable tout en encaissant les clients dans une pompe à essence , sans parler au client…
Il/Elle évite les clients (physiquement et du regard)
Il/Elle tourne carrément le dos,
Il/Elle fait mine de chercher des documents
Il/ Elle parle avec ses collègues de sa vie personnelle ou critique des clients (alors que plusieurs clients attendent d’être servis !
Il/Elle fait toutes les actions très ; très lentement ou reste un temps inapproprié avec un client , afin que d’autres clients impatients , décident de partir
Il/Elle a un faciès plus ou moins avenant selon la richesse supposée du client et son genre, sa taille de vêtements son poids, la couleur de sa peau, son âge, supposé ou non de la Région ou du Pays.
Au lieu d’aider le client, l’employé va expliquer trois fois à quelqu’un comment il peut le faire seul (ubuesque et perte de temps et de patience de la part du client, qui d’ailleurs ne reviendra pas !)
Le client est soumis et attend le bon vouloir du vendeur. Le client n’est pas roi ?
Un serveur peut jeter le café sur la table , ce qui fait que le café est à moitié dans la soucoupe ou faire mine de ne pas voir le signe du client pour commander ou même régler l’addition.
Ou alors le client dit bonjour , le vendeur fait mine d’acquiescer et d’écouter, laisse le client se lancer dans toute une explication puis le coupe net en disant très fort « bonjour » avec une politesse exagérée (technique vue article précédent)
Donner un service (médiocre) , n’est pas « être au service », tel est le message que veulent faire passer certains employés, qui selon moi, devraient changer de métier, se remettre en question, et ne pas se prendre pour quelqu’un qui est supérieur au client.
Le « NO service » est attaché à un statut, au pouvoir. ( P. Iribarde « La logique de l’honneur »)
Il y a un clivage permanent en France entre ce qui est noble et ce qui ne l’est pas.
Le service devient symbole de servitude.
On ne reçoit pas d’aide sauf si on est supposé avoir de l’argent et donc de donner un pourboire…
Dans ce cas on ne sert ni le client ni nous-même , puisque l’on rêve d’être dans un autre lieu et on se désengage de notre tâche/de notre responsabilité de donner un service en échange d’un salaire.
Alors que le service repose sur une personne en contact , en empathie, qui a un désir d’aider/d’accompagner le client/la cliente.
Il crée l’image de l’entreprise, la fidélisation des clients et l’attractivité de l’entreprise ! (1)
Vous allez me dire mais : « Comment je change de travail ? »
Au lieu de jouer au bourreau avec les « pauvres » clients qui ont eu l’audace (une fois ! ) de franchir la porte de votre restaurant ,de votre bureau, de votre boutique et de demander comment changer de travail car « vous n’avez pas assez de temps (réduire réseaux sociaux , télé) d’argent (prêt, économiser sur choses non vitales) , une famille « à charge », vous êtes trop vieux, trop jeune…..
(On peut changer à tout âge ! )
Vous êtes fatigué (vérifier son alimentation et faire du sport pour avoir les idées claires et une bonne énergie)
(Voir articles précédents sur la gestion du temps et l’énergie)
Demandez- vous : POURQUOI ?
Votre travail ne vous convient pas ?
Votre poste, votre entreprise , le statut de salarié ?
Pourquoi ?
Vous voulez en changer ?
Pourquoi ?
Et surtout , pourquoi vous ne l’avez pas encore fait ?
Peu de motivation.
Pensées limitantes, image faible de soi, peu de confiance en soi, peur du rejet, du succès ? (voir articles précédents)
Pas assez de connaissances ?
Passez à l’action, faites une formation ! (payante, MOOC gratuits, CPF ect.)
Méconnaissance de vos propres goûts et peu de maîtrise sur vos pensées et vos émotions ? (voir articles précédents)
Faites de la cohérence cardiaque et de la méditation , du rêve éveillé…
Trouvez votre mission de cœur, de vie.
CULTIVEZ VOTRE DIFFÉRENCE ! RESTEZ AUTHENTIQUE !
(1) Pour aller plus loin voir la chaine Youtube d’Isabelle Barth
« Loan, stress, strain » ( Charge, stress/tension, déformation) sur les métaux.
Regards croisés…
Au travail cela se traduit par :
La charge de travail : faire toujours plus , avec toujours moins ET encore plus vite…Les humains n’étant pas des robots , c’est leur santé physique et mentale qui sont altérées.
La tension et le stress des employés qui se dénient les droit de se fier à leur éthique, leurs instincts ( perte de repères, solitude , sentiment de ne pas exister, mauvaise image de soi, peu de confiance en eux, lâcher prise pour être « tranquille », avoir la paix, perte d’énergie, perte de goût pour la Vie).
Ceci pendant 35 h voire plus par semaine !
La déformation : dépression, burn out , mort par suicide /épuisement professionnel, maladies cardiaques
Quelques pistes pour « résister » :
Plier/ se soumettre (ou tout du moins donner « l’impression de » , est-ce la bonne solution à long terme ? )
Se préserver/développer une distance critique ( ce n’est qu’un travail, il n’est pas tenable de « perdre votre vie à la gagner »et se désengager peu à peu de cette sphère toxique, formations, aide d’un coach , d’un thérapeute, réorientation professionnelle, quitter le salariat…)
Nous ne sommes ni des robots, ni des tiges de métal.
Il convient de dénoncer et d’éradiquer ( par l’oubli, l’indifférence, la démission, légalement) ces managers et ces entreprises, en restant focalisé sur le maintien « pour » la vie, l’humanité des employés pas « contre » les managers (la personne derrière est également mal en point)
Pour gérer les conflits on peut s’aider de la théorie des apprentissages (voir article précédents)
On peut essayer de changer de comportements.
Changer de son côté sans modifier l’équilibre, ne sert pas à grand chose.
Le Manager fait tout pour changer les équilibres du système naturel en apportant des éléments « bizarres » et contre-intuitifs à son avantage..un employé peut donc les utiliser également et les contrer ( Ecole Palo Alto, Californie)
Recadrage: modifier le contexte émotionnel d’une situation ou le point de vue sur lequel il est vécu ex si deux personnes se disputent dans l’entrée , les amener dans un bureau, salle de photocopieuse, les archives….
Sabotage : jouer l’indifférence, la stupidité voire empirer la situation, si un peu sale, salir de plus en plus..
Retournement : déstabilisation ex par solidarité, on va demander au personnel de travailler plus pendant un certain temps et un employé ne le fait pas …le manager va le voir pour lui souhaiter devant tout le monde une bonne fin d’après-midi ou juste avant de partir le manager le convoquera (très longuement dans son bureau, non pour le réprimander , mais pour le retenir, jusqu’à l’heure demandée)
Confusion: décontenancer son interlocuteur, le féliciter oralement puis lui écrire des reproches dans un mail; alors que l’employé se plaint/le client ne pas tenir compte des arguments et lui faire remarquer qu’il a fait une faute de français ou n’a pas employé un terme adéquat.
Pour notre bien-être, faisons de la cohérence cardiaque.
Restons concentrés sur nos objectifs et notre mission de vie !
Montrer la responsabilité de l’état du personnel ( démission, obésité ,dépressions, alcoolisme, usage de drogues,maladie , burn out, mort par suicide) dû à l’irresponsabilité du manager.
Ne pas se poser en victime et le manager en bourreau. Il faut enrayer le processus au plus tôt et se faire aider.
COMMENT MANAGER SON MANAGER ?
Les managers qui refusent la responsabilité utilisent :
Le déni : « tout va bien »
La délégation, même mis devant l’évidence, nie la réalité ; explications erronées ; fuir ses responsabilités et les sanctions
La dissimulation : de ses erreurs, de son incompétence, « trou dans les finances », réunion avec le personnel évitées
Le mensonge : donner de fausses informations, des chiffres édulcorés, messages rassurants quand tout va mal et négatifs quand tout va bien.
« L’oubli » : le temps fera son œuvre, ne pas contacter les personnes « gênantes », laisser les problèmes s’enliser exprès.
Graves conséquences…
Ce qui entraîne un climat de mépris et de peur auprès de l’ensemble des collaborateurs.
Poser un diagnostique , c’est commencer la guérison.
Pour aller plus loin voir les articles et la chaine Youtube d’Isabelle Barth
Suite au confinement beaucoup de personnes se posent de nombreuses questions sur l’école, l’éducation et le travail des écoliers, collégiens,lycéens, étudiants (quelle en est l’utilité ?
Plutôt en présentiel ou en ligne ? Education payante ou gratuite, grâce à des MOOCS par exemple ? ) et aussi sur le travail et l’argent.
Certains métiers étaient dits « sûrs » (commerçant,dentiste, dermatologue, rhumatologue, pilote d’avion , hôtesse de l’air,avocat…) et finalement ne le sont plus.
Les personnes qui avaient des métiers « atypiques » sur internet par exemple , deviennent des personnes qui peuvent s’adapter très vite et qui sont en phase avec la vie , le changement, les événements et sont très réactifs dans un sens créatif.
Kit de survie.
Ils sont moins enclins à se faire polluer par les Médias cultivant la peur, le climat de suspicion, de colère…
Ils se focalisent plus sur leurs objectifs, sont prudents, mais ne laissent pas les émotions non créatives, négatives les déstabiliser…
Ils maintiennent leur cap et surtout , ils pensent , ils réfléchissent par eux-mêmes.
Les pensées limitantes (voir articles précédents) sur le travail et l’argent s’expriment dans de nombreuses chansons :
En voici un florilège…à écouter en boucle, pour voir ce que ces chansons réveillent en vous et aussi pour le plaisir…
En français
Le poinçonneur des Lilas de Gainsbourg
Ma petite entreprise de Bashung
Il fait trop beau pour travailler des Parisiennes
Balayer, astiquer de Zouk Machine
Merci patron ! des Charlots
Complainte du P3 de Jean Yann
Et bailler et dormir de Charles Aznavour
Le travail c’est la santé (ne rien faire c’est la conserver !) d’Henri Salvador
Je ne veux pas travailler de Pink Martini
Cayenne c’est fini de Jacques Higelin
Et beaucoup,beaucoup d’autres….
En anglais :
Lee Dorsey –A Coal Mine
Dolly Parton– 9 to 5
Tennesse Ernie Ford – Sixteen Tons
DEVO – Toil is Stupid
Lou Reed – Don’t Talk To Me About Work
Michael Jackson – Workin’ Day and Night
Mick Jagger – Let’s Work
John Lennon – Working Class Her
Gang Starr – Work
Britney Spears – Work (bitch)
Sam Cooke – Chain Gang
The Dead Kennedys – Soup is Good Food
The Beatles – A Hard Day’s Night
The Rakes – Work, Work, Work
Rihanna– Work
And many many more !
Et finissons par la célèbre fable de La Fontaine : « La cigale et la fourmi », qui oppose les travailleurs aux profiteurs de la vie et exprime un monde coupé en deux parties, les plus riches ,véritables écureuils, étant peu enclins à partager avec les pauvres,sans sens des responsabilités et dépensiers. Alors que l’on peut tout à fait travailler et profiter de la vie .
Le fait est que si on choisit son métier, on n’a plus l’impression de travailler…
Si beaucoup « rêvent d’être des artistes » ,plutôt que d’exercer leur métier actuel , comme Claude Dubois (extrait de la comédie musicale Starmania ) , les moments très intenses en émotions que nous vivons depuis deux mois sont certainement propices , à devenir plus créatifs et positifs et à faire un pas dans cette direction…
Beaucoup de paix , de sérénité, de bonheur et de chance à tous !
Pour aller plus loin
MOOCS (cours gratuits avec certificat ou non, de grandes écoles, d’universités réputées, avec certificats payants- Attention ,évitez les MOOCS donnés par des personnes non qualifiées ) d’abord au Canada en 2012 , puis depuis,dans le monde entier et en beaucoup de langues.
Emission en Replay sur France télévision : La vie secrète des chansons